La chimie des encres et la chromatographie sur papier

La chimie des encres et la chromatographie sur papier. C’est avec l’école de manga japonais de

Bradykinine

Le 13 décembre 2006 à Halifax en Nouvelle-Écosse, en compagnie de Stéphanie Melanson (B.Sc. DAL)

Enképhaline

Le 1er décembre 2006, à Halifax enNouvelle-Écosse, des élèves de deuxième année qui ont les n

 

La chimie des encres et la chromatographie sur papier

July 1, 2014 dans Chimie de l'art

La chimie des encres et la chromatographie sur papier.

C’est avec l’école de manga japonais de Montréal (Manga Montreal) et sa manga-ka (dessinatrice japonaise de manga) Azusa Matsumoto que le projet Molécules de vie a fait équipe le 15 mai 2014. Ils ont ensemble rencontré les élèves de 6ème année du primaire du collège Stanislas à Montréal pour leur enseigner différentes techniques d’encrage, mais aussi pour découvrir les propriétés chimiques de ces encres à travers un atelier Science-Manga.

Après avoir reçu une brève introduction sur l’histoire des Mangas par Azusa Matsumoto, les élèves ont été initiés à la chimie des encres et à leur composition. Ainsi les élèves ont appris que certaines encres sont solubles dans l’eau, c’est-à-dire, elles peuvent s’effacer avec de l’eau et du savon alors que d’autres ne sont pas solubles dans l’eau, comme l’encre de Chine utilisée dans les dessins Manga. Pour voir la différence entre les encres, les enfants ont mené à bien une expérience en utilisant la technique de chromatographie sur papier. Ils ont ainsi observé que leurs stylos avec des encres solubles dans l’eau formaient des taches qui migrent sur le papier et qui se sont même séparées en tâches de différentes couleurs (composition de différents pigments).

D’autre part, l’encre de Chine insoluble dans l’eau est restée sur la ligne de base et n’a pas migré sur le papier. Les élèves, prévenus que l’encre de chine est quasi indélébile ont ensuite été initiés à différentes techniques d’encrage couramment utilisées par les manga-kas.

Tout le monde était très content d’en apprendre davantage sur les techniques de dessin Manga, la composition chimique de l’encre de chine ainsi que sur l’utilisation de la chromatographie sur papier.

 

 

 

 

Bradykinine

August 21, 2012 dans Peptides

Le 13 décembre 2006 à Halifax en Nouvelle-Écosse, en compagnie de Stéphanie Melanson (B.Sc. DAL) et Emmelyne Pornillos (Mdes NSCADU), les écoliers de deuxième année ont été transportés jusqu’ à la découverte de la bradykinine en 1949 et ont capturé un serpent Jararaca au Brésil.

Tous sont intrigués par la silhouette d’un étudiant bénévole que trace Emmelyne sur un grand morceau de papier, et plusieurs répondent aux questions de Stéphanie à mesure que la silhouette se rempli de diverses illustrations (germes, vaccins, globules blancs) pour créer un portrait visuel du système immunitaire et de son fonctionnement en tant que système de défense face aux maladies. La Bradykinine, sensibilisateur à l’inflammation, est visiblement compris par un élève qui la compare à « l’alarme qui sonne en cas d’incendie ».

On attache sa ceinture pour un voyage vers São Paulo au  Brésil, où on apprend un peu de portugais et rencontre le serpent Bothrops Jararaca (serpent brésilien « lancehead » ) et son venin poison avec lequel  les Dr.Mauricio Rocha et Dr. Silva, ainsi que leurs collègues, ont détecté la bradykinine dans le plasma sanguin de l’animal.  Munis de rouleau de papier vide, les étudiants décorent et assemblent leur propre Jararaca en écoutant de la Samba.

Merci à l’équipe “bradykinine”  pour l’amplification du signal ‘projet molécule de vie’ chez les élèves de deuxième année d’Halifax.

 

Enképhaline

August 21, 2012 dans Peptides

Le 1er décembre 2006, à Halifax enNouvelle-Écosse, des élèves de deuxième année qui ont les neurones en pleine activité, se passionnent à lire  “L’incroyable enképhaline” mettant en vedette le système nerveux en compagnie de Rachel Comeau (B.Sc. DAL) et Ashley Thimot (BA NSCADU).

En utilisant un agrume pour allumer une lumière, Rachel illumine l’intérêt des élèves en expliquant comment, de façon semblable mais opposée, via le système nerveux, l’énergie électrique est transformée en énergie chimique que le cerveau utilise pour entreposer de l’information reçue par les sens. Des indices sont chuchotés d’une oreille à  l’autre et les écoliers apprennent ainsi l’importance d’un influx neuronal adéquat, comme au jeu du téléphone.

À l’aide de bandes dessinées et d’activités, Ashley initie les enfants  à leur sixième sens et à  la sensation de douleur. Elle raconte comment l’enképhaline est libérée  de la glande pituitaire  pour causer l’analgésie, qui est le soulagement de la douleur après un accident. En lisant à tour de rôle les bandes dessinées à voix haute et en travaillant individuellement sur des activités telles que des mots cachés et la connexion de points, les étudiants ont appris à connaître leur système nerveux et le rôle incroyable de l’enképhaline.

Merci à l’équipe “enképhaline” pour cet apprentissage sans douleur chez les deuxièmes années à Halifax.